Difficile de se remettre à écrire après tant de temps. La connexion internet reste la même, et tout ce qui s’accumule dans ma petite tête, je n’ai pas réussi à en faire une synthèse à soumettre au blog. Avec délicatesse je vais expliquer quelques évènements depuis quoi, un mois ? Mon collègue d’atelier a donné sa démission, un lundi, le lundi d’après on ne le reverrai plus. De quoi chambouler les plans de la fondation, et les jeunes, parce qu’il faut savoir que les petites habitudes sont importantes. Une visite avec un trop grand nombre de personne, une crise, un blessé ou tout autre évènement et l’on peut sentir un changement de comportement assez rapide, et qui persiste. Avec ça j’ai essayé de me faire ma petite place, mais que faire quand on sait comment les «  chefs » de l’organisme agisse, c’est-à-dire dise une chose, puis une autre selon la personne ou le jour. Et on me demande créativité, flexibilité et patience.. Loi du marché quand tu nous tiens ! Alors avec les dernières nouvelles, je suis confronté à plusieurs choix, ou choix imposé, ( un peu perdu il faut le dire ). Entre rester dans l’atelier dans lequel je suis depuis maintenant plus de deux mois, ou essayer de me faire une place dans un autre. Le problème avec ce dernier ? Comment déborder de créativité lorsque l’on reste seulement deux voir trois mois dans un atelier, où l’on a besoin d’un temps d’adaptation, de faire connaissance avec les jeunes, de trouver sa place et son rôle. Bref, encore trouble dans ma tête, j’ai besoin de temps ! A coté de ça je me dis que l’année va passer très vite, et que je m’étais promis de faire de cette expérience un trampoline qui me ferait rebondir sur mon avenir. Alors je pense à la psychologie, à une formation d’éducateur spécialisé, à la médiation culturelle. Je pense que quelque soi le choix que je ferai, je pourrai de toute façon regrouper ces formations en un seul point. La preuve étant la diversité des métiers offerte aux travailleurs sociaux. Je me trouve dans une fondation où le métier de psychologue jongle avec l’éducation, la création; où d’anciens d’écoles d’arts sont aujourd’hui éducateurs spécialisées à leur sauce. Chaque goutte d’eau apporte quelque chose dans cet océan. Mais une chose est à soulignée, travail social ne rime pas avec conte de fée, comme dans chaque organisme, collectivité, petite, moyenne ou grande entreprise, il y a des conflits au travail, et rester discret voir silencieux, c’est parfois faire preuve de sagesse !


Je viens de finir mon premier semestre de hongrois, et ai obtenu mon certificat A1, autant dire un petit pas dans la langue, mais un pas encourageant.
J’ai toujours la volonté de découvrir les environs de Pécs, c’est-à-dire toute l’aire viticole assez réputé, tel que Villani, et les autres petites villes ou village qui font de la Hongrie le numéro 2 dans la qualité du vin ( Comment en tant que français je pourrai imaginer de mettre le vin hongrois ex aequo avec le français, voir devant celui-ci ! :p ). Mais le site internet des trains que j’ai consulté reste une énigme comme la façon dont la langue hongroise s’est implanté au centre de l’Europe…
Dernière petite note pour les amateurs de «  vertuosité », l’absinthe verte, rouge et noire que j‘ai pu pour la première fois testé, à Pécs ! Avec la verte l’impression d’un pastis, rouge un réglisse, noire peu importe, on y perd les papilles !