Je laisse l’explication de tous les paramètres rentrant en jeu pour que le projet soit accepté par l’Agence Nationale aux autorités administratives( qui me taperaient sur les doigts si j’essayais seulement de synthétisé le huitième paragraphe de la page cinq du dossier trois !). J’arrive donc au mois de Septembre – ehh oui, un bond de deux mois vers… le présent !- où je dois participer à un séminaire avec une trentaine de futurs volontaires tout aussi impatient, curieux, angoissé -et moultes autres adjectifs pouvant essayé de décrire le sentiment que l’on éprouve lorsque l’on est à quelques jours, voir semaines du départ- que moi… Séminaire se déroulant à Sommières, dans le sud de la France. Je me vois déjà écouter une conférence pendant quatre jours, et rentrer encore plus troublé qu’à mon arrivé.. que néni ! Un séminaire qui te permet de rencontrer d’autres jeunes, d’échanger sur les projets de chacun, mais aussi sur les doutes, les appréhensions, et les attentes qui te touche.. et voir comment les régler , comment s’épanouir dans son projet, dans le pays où l’on va se trouver,… Un pur moment de partage, d’échange, de compréhension de l’autre mais aussi de soi. Ainsi, on en ressort avec tout d’abord beaucoup d’heures de sommeil à rattraper… parce qu’un séminaire, c’est aussi l’endroit pour apprécier la « culture festive » de chacun ( et on n’en perd pas une miette !). Mais aussi avec le sentiment d’avoir fait une synthèse de tout ce que l’on ressentait vis-à-vis du SVE. Je m’appelle Jean, et je pars le 2 octobre 2010, dans l’organisme « Hold My Hand », à Pécs, en Hongrie, pour 12 mois. Comment je me sens ? Sur une piste de lancement, et prêt à décoller pour une expérience étonnante !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire