Janvier- Mai 2010 Quelques jours après avoir bien étudié les caractéristiques d’un SVE, le but de celui-ci , mais aussi d’autres types d’échanges interculturels, j’entamme des recherches un peu plus approfondi : Rencontre avec une ancienne volontaire partie en Bulgarie quelques années plus tôt ; Réflexion sur les différents thèmes, projets et pays que je serai amené à choisir ; Questionnement sur mes capacités, mes attentes, mes doutes vis-à-vis d’un tel projet, qui s’étale principalement sur une période de 6 à 12 mois ( voir moins pour les projets court termes, se reporter directement au site de l’INJEP pour plus d’infos ) ; Enfin, je participe à une réunion d’information sur le SVE avec une vingtaine d’autre jeunes ayant tous une motivation bien particulière, que ce soit sur le fait d’apprendre une nouvelle langue, de s’investir dans un projet, de se sentir utile, de voyager (..) mais aussi avec une approche du SVE différente, comme dit précédemment ce service touche des jeunes de 18 à 30 ans, et certains peuvent tout juste sortir du cycle scolaire, prendre une « gap year » ou sont déjà sur le marché du travail. Mois de mai j’envoie une quarantaine de mails contenant CV et let motiv, principalement dans le domaine de l’évènementiel et du handicape, et d’ailleurs ,pourquoi ces deux domaines ? Jean, dans son patelin du Val D’Oise est aussi musicien et passionné d’art, de l’information, et il voulait être utile dans la résolution d’un conflit social, dût à une incompréhension de l’autre. Alors yep, pourquoi pas mêlé tout ce qui me compose pour le transposer dans un projet ?
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